Atrax.fr - Equateur Galápagos 2013

ATRAX.FR - Equateur Galápagos 2013

Les Andes – Sur la route
Du fait d’un paysage très montagneux, il faut creuser des tranchées pour construire les routes.

C’est l’occasion de constater les nombreuses couches de sédiments du sol, fruit d’un passé volcanique tumultueux.

Les Andes – Chimborazo
Nous remontons au cœur de la cordillère des Andes jusqu’au pied du volcan Chimborazo qui culmine à 6300 mètres d’altitude.

Ce volcan est le sommet « le plus haut du monde » ! Oui, oui !

C’est bien sûr en le considérant comme le sommet le plus éloigné du centre de la Terre, grâce à la forme d'ellipsoïde de la Terre, dont le rayon est environ 21 km plus important à l'équateur.

Le sommet du Chimborazo est donc aussi le point de la surface de la terre dont la distance minimale au Soleil au cours d'une année est la plus petite.

Les Andes – Chimborazo
Sur les pentes du Chimborazo, on peut trouver des vigognes, le lama à poil court.

Cet animal avait complètement disparu de l'Equateur, mais le Pérou, la Bolivie et la Colombie en ont offert chacun 50 couples.

Après quelques années, leur nombre a été multiplié par dix, un bel exemple de réimplantation réussie.

Les Andes – Chimborazo
Sous les yeux des vigognes, nous entamons l’ascension de ce volcan mythique.

Malheureusement, quelques minutes plus tôt, nous avons dû quitter notre véhicule suite à la casse du joint de culasse.

Nous partons donc de plus bas, mais nous allons malgré tout essayer d’atteindre notre objectif de 5300 mètres.

Les Andes – Chimborazo
Après une ascension très laborieuse, avec une grande difficulté à monter, c’est les larmes aux yeux que nous arrivons à 5100 mètres d’altitude.

Dur de respirer et de reprendre son souffle à cette altitude !

Mais après un carreau de chocolat, on retrouve le sourire et on peut faire une belle photo au-dessus de la mer de nuage.

Les Andes – Chimborazo
Comme nous avons commencé de plus bas, nous n’arriverons pas à notre objectif des 5300 mètres.

Le temps nous manque et des nuages menaçants arrivent, il faut redescendre.

Une dernière vue sur le somment et les glaciers que nous aurions dû atteindre.

Encore une fois cela semble si près, pourtant le premier glacier est à 1h15 de montée.

Durant la descente, nous passerons par le refuge Edward Whymper situé à 5000 mètres, l’un des plus hauts refuges du monde.

Les Andes – Chimborazo
Après une très longue descente, nous rejoignons notre véhicule.

Ramiro, notre guide, utilisera l’eau qui restait à tout le monde pour remplir le radiateur.

Nous pourrons rejoindre la ville la plus proche où nous dormirons et en profiter pour réparer le véhicule.

Les Andes – Riobamba
Le soir, retour à la civilisation, nous dormons dans la ville de Riobamba.

Je ne sais pas ce qu’il y avait derrière moi, mais ça avait l’air assez inquiétant.

Les Andes – Sur la route
Sur la route, nous observons beaucoup de champs cultivés.

Ici des indiens moissonnent la plante de quinoa.

Les Andes – Sur la route
Il serait temps de tondre ce mouton, qui commence à avoir des difficultés à voir devant lui.

Les Andes – Sur la route
Les paysages de la sierra équatorienne nous impressionnent.

Quel que soit la pente, la terre est cultivée.

Les Andes – Sur la route
On ne se lasse pas d’admirer la beauté des paysages qui nous entourent.

Cela rend les transferts en minibus plus attrayants.

Les Andes – Sur la route
Sous les yeux d’une indienne âgée, nous entamons la visite d’un site inca appelé Ingapirca.

Les Andes – Ingapirca
Le site d’Ingapirca, perché à 3000 mètres d’altitude, est un bel exemple d’architecture, qui servait à la fois de temple, de centre administratif et de refuge inca.

Les Andes – Ingapirca
Pour les fils du soleil, c’était le point de passage sur la route inca qui conduisait jusqu’à Cusco, la capitale inca située au Pérou.

Les Andes – Ingapirca
Chaque famille possède son animal de compagnie.

Un petit chien à l’air triste nous regarde marcher au milieu de la sierra équatorienne.

Les Andes – Ingapirca
Non loin du site inca, nous pouvons apercevoir un étrange rocher en forme de visage.
Menton, bouche, nez, sourcils, et front, rien ne manque.

Les Andes – Cuenca
Après une longue route, nous arrivons dans la ville de Cuenca, située dans une région connue pour sa fabrique de chapeau de Panama.

Une jeune indienne tresse ce qui est sans doute l’un des chapeaux le plus connu du monde.

Les Andes – Cuenca
Nous visitons une usine de finition des chapeaux de Panama, appelée Homero Ortega.

Pendant la construction du canal de Panama, des ouvriers du monde entier acquièrent ces chapeaux de paille équatoriens pour se protéger du soleil.

Panama sert de vitrine commerciale au chapeau de paille qui est baptisé panama malgré son origine équatorienne.

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