ATRAX.FR - Spitzberg 2014

Camp de base – Longyearbyen

Après une nuit sans tour de garde, nous entamons la dernière journée de ce séjour.

Elle sera consacrée à la visite du musée de la ville et à une randonnée sur les hauteurs de Longyearbyen.

Dans le petit port, on peut apercevoir le bateau de Greenpeace.




Camp de base – Longyearbyen

Au musée de la ville, on retrace toute l’histoire de la découverte de l’archipel du Svalbard à nos jours.

Visiblement les premiers explorateurs ont été un peu surpris par les rencontres avec les ours polaires qui ne les ont pas accueillis à pattes ouvertes.




Camp de base – Longyearbyen

Toujours au musée, on peut observer un ours empaillé ayant attaqué des hommes il y a de nombreuses années.

Il aura fallu une dizaine de balles de revolver pour venir à bout du plantigrade.

On peut encore voir les impacts des balles sur la fourrure de la bête.




Camp de base – Longyearbyen

Nous partons pour une journée de randonnée en grimpant la montagne la plus proche de la ville.

Sur les flancs de la montagne, on peut apercevoir un vieux bunker.

Durant la Seconde Guerre Mondiale, les allemands ont implanté ici une station météo stratégique pour le contrôle de l’Atlantique.




Camp de base – Longyearbyen

Au sommet de la montagne nous trouvons un plateau parsemé de nombreuses rocailles.

La marche n’est pas facile sur ce type de terrain et les chevilles en prennent un coup.




Camp de base – Longyearbyen

Sur le chemin nous traversons un minuscule glacier.

La neige qui le recouvre n’a pas totalement fondu avec la venue de l’été.




Camp de base – Longyearbyen

Nous tombons sur une stèle dédiée à une journaliste qui s’est fait surprendre par un ours.

Parties à 2 avec une amie, alors que la neige recouvrait encore l’endroit, elles se sont rapprochées de ce qu’elles pensaient être un renne endormi.

Une erreur qui sera fatale à l’une car l’autre ne devra son salut que parce que l’ours n’a pas pu s’occuper des 2 en même temps.

La 2e profitera de ces précieuses secondes pour rejoindre le bord de la falaise et de sauter dans la neige en contrebas… ce qui lui sauvera la vie.




Camp de base – Longyearbyen

La terre des ours est hostile à bien des égards.

On ne compte plus les morts, les accidents avec la faune, la glace et le froid, surtout en hiver.

Chaque soir durant le repas, Tito nous racontera une ou plusieurs histoires qui finissent mal la plupart du temps.




Camp de base – Longyearbyen

Durant la beauté des paysages, on oublie souvent le danger qui rôde.

Une jeune britannique de 17 ans en a fait l’amère expérience en 2011, tué par un ours affamé. (article ci-dessous)

  • Lien vers l'article ici



  • Camp de base – Longyearbyen

    Les montagnes alentours présentent encore un peu de neige en cette fin d’été.

    En hiver et au printemps, cela doit être impressionnant.




    Camp de base – Longyearbyen

    L’été s’achève, dans quelques semaines la neige va revenir et dans quelques mois la banquise emprisonnera le fjord et la ville.

    Une époque de l’année qui doit être relativement difficile, surtout qu’en hiver il fait nuit durant presque de 3 mois.




    Camp de base – Longyearbyen

    Petite photo du glacier situé au-dessus de la ville de Longyearbyen.




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