ATRAX.FR - Spitzberg 2014

Camp de Svéa

A nouveau, c’est l’heure de mon tour de garde, l’occasion de photographier le camp sous une belle lumière.

Nos kayaks se reposent avant la grosse journée qui nous attend le lendemain.




Camp de Svéa

Le tour de garde est monotone, aucune faune à l’horizon.

Alors on se rabat sur la flore avec cette mousse que l’on trouve tout autour du camp.




Camp de Svéa

Enfin un peu d’action, un lab à longue queue se pose à proximité.

Je me rapproche tant bien que mal pour le prendre en photo.

Au loin, on peut apercevoir le glacier de Svéa.




Camp de Svéa

Toujours durant mon tour de garde, des oies se font attendre au loin.

Je me rapproche discrètement, à couvert des buttes alentours.

Les oies barbotent dans le petit lac qui nous sert de réservoir d’eau et que notre guide fait bouillir chaque matin et chaque soir, afin que l’on puisse la consommer.




En route vers le fjord d’Eckman

Le lendemain, la mer est plus calme, nous quittons donc l’Isfjord et partons vers le nord en direction de l’Eckmanfjord.

Nous longeons le rivage avec nos kayaks chargés des tentes, des duvets, de nos affaires et de la nourriture.

Nous établirons notre campement près d’un autre glacier, celui de Sefström.




Camp de Sefström

Malgré une longue journée de kayak et l'insatllation du nouveau camp, pas de repos pour les aventuriers, c’est un nouveau tour de garde qui s’organise.

On observe les environs afin d’étudier les éventuels traces laissées, mais aussi pour évaluer le terrain.

Devant notre camp, une île, et au loin une montagne aux formes étranges qui rappelle étrangement la légendaire barre chocolatée triangulaire Toblerone.




Glacier de Sefström

Le lendemain, nous partons pour une nouvelle journée de kayak et nous mettons le cap vers le glacer de Sefström.

Avant d’arriver, nous croisons un phoque bien installé sur son canapé de glace.




Glacier de Sefström

Quelques centaines de mètres plus loin, nous échouons sur la plage d’une toute petite île, c’est l’heure de casser la croûte.

Mais avant de s’éloigner des kayaks, comme souvent, Tito notre guide part inspecter les environs, afin que ce ne soit pas nous, qui servions de repas à un ours polaire.




Glacier de Sefström

Au calme, sans ours à l’horizon, avec une soupe chaude entre les mains, nous profitons du panorama exceptionnel.

Nous ne sommes qu’à une centaine de mètres du front du glacier.

Après quelques carreaux de chocolats bien mérités, nous rejoignons nos kayaks afin de nous rapprocher du monstre de glace.




Glacier de Sefström

Sur la petite île où nous déjeunons, un stern protège son nid.




Glacier de Sefström

On atteint les premiers icebergs, nous sommes sur nos gardes, de nombreux morceaux de glace tombe de la grotte à gauche, ce qui crée des vagues importantes.

Ce retourner dans une eau aussi froide ne doit pas être une partie de plaisir, sans parler du fait qu’il faut pouvoir remonter sur le kayak…

Sur les conseils de Tito, à chaque chute de glace, nous nous mettons perpendiculaire aux vagues pour mieux les attaquer.




Glacier de Sefström

On ne se lasse pas des paysages que nous offre le glacier, surtout avec cette lumière.

On arrête de pagayer et on se laisse volontiers bercer par les vagues.




Page suivante

© 2014 Copyright Atrax.fr - Toutes les photos présentes sur ce site sont protégées par son auteur. Toute utilisation nécessite son accord préalable.