Atrax.fr - Namibie Botswana Zimbabwe 2012

ATRAX.FR - Namibie Botswana Zimbabwe 2012

Namibie – Parc d’Etosha
S’il y a un animal difficile à photographier c’est bien l’autruche.

Avec ses 2,50 m de haut et ses 130 kg, l'autruche mâle est le plus grand et le plus lourd des oiseaux actuels.

Namibie – Parc d’Etosha
Un épais nuage de poussière ne nous avait pas trompés.

Peu vus jusqu’à présent s’est désormais un troupeau entier de gnous qui vient rejoindre un point d’eau.

Namibie – Parc d’Etosha
Lorsque la nourriture devient insuffisante les gnous effectuent des migrations saisonnières importantes.

Durant ce voyage des zèbres et antilopes les accompagnent, formant des rassemblements de plusieurs milliers de têtes.

Namibie – Parc d’Etosha
Difficilement observable, un bubale se retourne pour nous dire adieu.

Nous mettons le cap vers la sortie du parc après 2 journées d’intenses émotions.

Namibie – Parc d’Etosha
Peu avant la sortie du parc, une girafe pose pour la photo.

Namibie – Parc d’Etosha
Des zèbres à la teinture ambrée.

Nous sortons à l’Ouest du parc d’Etosha, direction le Nord-Ouest de la Namibie, plus précisément dans la région du Kaoko-Land, vers la ville d’Opuwo, capitale du peuple Himbas.

Namibie – Kaoko Land – Himbas
Après une longue route et une nuit bien méritée, nous parcourons les pistes du Nord de la Namibie à la recherche d’un village Himbas qui voudra bien nous accueillir.

Par chance, au bord de la route, notre guide aperçoit un chef de village qu’il avait déjà rencontré par le passé.

Le chef accepte de nous recevoir, et nous donne également l’autorisation de faire des photos.

Namibie – Kaoko Land – Himbas
S’ils sont maintenant sédentaires et éleveurs, les Himbas ont vécu autrefois comme chasseurs et cueilleurs nomades.

Traditionnellement les Himbas se teignent la peau en rouge (ocre) avec une pommade réalisée à base de graisse animale et de poudre d'hématite.

Ceci leur permet de se protéger du soleil, de la sécheresse de l'air et des insectes.

Namibie – Kaoko Land – Himbas
Pour maintenir et protéger leur mode de vie et leurs traditions, un certain nombre de conseils nous sont prodigués par notre guide.

Par exemple, le feu sacré, situé au centre du village ne doit jamais s'éteindre, puisqu'il maintient la relation entre les vivants et les morts.

Il ne faut pas nous plus passer entre la case de la première femme du chef du village et le feu sacré.

Namibie – Kaoko Land – Himbas
La culture Himba a su garder son originalité mais les pressions extérieures sont importantes.

Bien que parfaitement au courant du monde qui les entoure, les Himbas ont su protéger leurs traditions des méfaits d'une modernité qui leur serait imposée.

Les 10.000 Himbas présent dans cette région de Namibie ont choisi de rester fidèle à leur culture.

Namibie – Kaoko Land – Himbas
Les jeunes filles portent des nattes en général épaisses et dirigées vers le visage, ceci signifie qu’elles sont déjà promises à un garçon.

Lorsque les jeunes filles prêtes à se marier, leurs cheveux sont alors dirigés vers l'arrière.
Les jeunes garçons sont généralement totalement rasés.

Namibie – Kaoko Land – Himbas
Des dizaines d‘Himbas viennent des villages voisins, nous sommes devenus l’attraction principale.

A la fin de notre rencontre, les femmes démarrent une danse traditionnelle.

Danse à laquelle les enfants sont mis à contribution dès leur plus jeune âge.

Namibie – Kaoko Land – Himbas
Pour les remercier de nous avoir accueillis si chaleureusement, nous leur offrons un sac de farine de maïs, que les femmes se partageront.

Namibie – Kaoko Land – Himbas
Les maisons des Himbas ont une forme conique et sont fabriquées avec des feuilles de palmiers, de la chaume, de la terre grasse et des excréments de vache.

C’est avec un immense regret que nous sommes obligés de les quitter.

Nous repartons vers d’autres aventures.

Namibie – Route vers le Sud
Nous mettons le cap plein Sud et nous arrêtons pour manger au bord de la route comme souvent à midi.

Un étrange baobab à trois troncs nous impressionne par son envergure.

Namibie – Canyon de Khowarib
Plus nous allons vers le Sud, plus la zone devient désertique.

Nous campons néanmoins au bord d’un canyon magnifique, tel un oasis dans le désert.

Photo pris devant la tente, la nuit il ne vaut mieux pas être somnambule, deux mètres et c’est le plongeon.

Namibie – Canyon de Khowarib
Une fois installés, nous partons pour une longue balade à travers le canyon et le long de la rivière.

Un décor d’une quiétude sans pareil, nous serons bercés par le bruit du ruisseau jusqu’à la tombée de la nuit.

Namibie – Canyon de Khowarib
L’Est de la Namibie est plus vallonnés, moins accessible.

Pourtant quelques irréductibles, aidés par des ânes, rejoignent leur foyer au coucher du soleil.

Namibie – Damara Land
Nous reprenons la route, et partons toujours plus au Sud.

Nous entrons dans la région désertique du Damara-Land.

Sur la droite, un amas de sable, pétrifié depuis plusieurs millions d’année.

Namibie – Damara Land
Contre toute attente, alors que n’espérions plus les voir, nous apercevons au bord de la route un groupe d’une dizaine d’éléphants du désert.

Cette espèce a su s’adapter aux maigres ressources présentes dans le désert.

Malheureusement, il ne reste que quelques centaines d'individus, présents uniquement en Namibie.

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