ATRAX.FR - Equateur Galápagos 2013

Amazonie – Rivière Napo

Après ces émotions, la mère de famille va chercher des fèves de cacao sur un cacaoyer.

Après les avoir cuites et écrasées, nous commençons à voir apparaitre du chocolat chaud.




Amazonie – Rivière Napo

Et avec quoi peut-on manger du chocolat chaud ? Des bananes tout simplement…

Ça tombe bien, il y en a plein aux alentours.




Amazonie – Rivière Napo

Une autre denrée peut être cultivée en grande quantité, le manioc.




Amazonie – Rivière Napo

Des milliers de chenilles se promènent sur un troc à la sève sucrée.




Amazonie – Rivière Napo

Parmi la faune riche de la forêt amazonienne, une menthe religieuse.

Il est temps de quitter l’Amazonie pour rejoindre les Andes à nouveau, mais dans le Sud du pays.




Les Andes – Route pour Banos

Nous faisons route vers la ville de Banos dans les Andes.

Nous en profitons pour s’arrêter dans un atelier de bois de balsa.

Cet atelier sculpte et peint des figurines qui sont vendus dans le monde entier.




Les Andes – Route pour Banos

Le balsa est un grand arbre extrêmement léger pouvant atteindre 40 m de haut, utilisé notamment pour la réalisation de maquettes.

Les Indiens d'Amazonie l'utilisaient pour fabriquer des radeaux à l'aide de troncs assemblés, ou des canots creusés dans des troncs d'arbres.




Les Andes – Route pour Banos

Sur la route, nous faisons une halte dans une petite distillerie artisanale d’alcool de canne à sucre.

Nous repartirons avec 2 litres d’alcool à 70% que nous mélangerons avec les jus de fruit du pays, chaque soir pour l’apéro.




Les Andes – Route pour Banos

Pendant plusieurs heures, nous longeons le fleuve Pastaza, qui nous offre un paysage magnifique.




Les Andes – Route pour Banos

Le fleuve Pastaza est alimenté par de nombreuses cascades impressionnantes.

Ce sont les chutes du Pailon del Diablo qui doivent faire 200 mètres de long sur 100 de haut.

Il était possible de descendre au pied de la cascade, mais les embruns empêchent les photographes d’immortaliser la puissance de l’eau qui se déverse.




Les Andes – Route pour Banos

Pour traverser les gorges du fleuve, nous empruntons une sorte nacelle suspendue à un câble d'acier appelée Tarabita.

Une traversée à grande vitesse.




Les Andes – Route pour Banos

Ces belles chutes d’eau s’appellent le voile de la mariée.

Un mouvement de terrain récent à provoquer la séparation du cours d’eau en 2, celui de droite étant plus récent.




Les Andes – Route pour Banos

Sur la nacelle qui traverse le fleuve Pastaza, on peut admirer la magnificence des paysages.

On peut constater que nous sommes à la frontière entre l’Amazonie et les Andes, entre végétations verdoyantes et montagnes.




Les Andes – Banos

Arrivé à la ville de Banos, nous visitons un petit commerce qui vend et sculpte l’ivoire végétal.

Ce sont des graines de palmiers, de la taille d’un marron, soigneusement récoltées en forêt amazonienne.

On peut voir l’étape de sculpture d’un éléphant, depuis la graine jusqu’à la figurine finale.




Les Andes – Banos

L’ivoire végétal ou tagua, est un substitut presque parfait à l’ivoire animal.

L’illusion est parfaite sur cette petite sculpture.




Les Andes – Banos

A Banos, comme dans toutes les villes d’Amérique du Sud, une église est présente sur la place centrale.

Sur celle-ci les portes sont particulièrement bien sculptées dans un bois précieux venu de la forêt amazonienne.




Les Andes – Banos

Dans l’église, c’est l’heure de la messe, il faut dire que les sud-américains sont très croyants, il faut donc officier plusieurs fois par jour.

Dans celle-ci il y avait 4 offices par jour en semaine, 5 le samedi et 9 le dimanche !

Rien à voir avec les offices religieux de nos contrées.




Les Andes – Banos

Nous quittons la ville de Banos située au pied du volcan Tungurahua qui culmine à 5000 mètres d’altitude et dont la dernière éruption ne date que de mai 2010.

Volcan très actif, on peut voir quelques fumeroles à son sommet.

Nous pourrons par ailleurs profiter des sources d’eau chaudes qui sortent du volcan ; une baignade nocturne très appréciée des voyageurs.




Les Andes – Sur la route

Au bord de la route, de nombreux indiens venus des environ attendent le début d’une fête populaire.

Un choc des générations où les jeunes ont des casquettes et des capuches et où les anciens ont les chapeaux traditionnels.




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